Coupe de France 1/10
Nitro Touring
200mm à Bourg-en-Bresse:
(Reportage: Fabien Valantin / Copyrights © rcinfos
- adaptaweb)
Note: toutes les photos peuvent être
agrandies par un simple clic.
C’est le club de Bourg en Bresse, au nord-est
de Lyon, qui a été chargé de recevoir cette
coupe de France 200mm thermique. Comme l’on pouvait s’y
attendre, un accueil parfait nous y attendait, à savoir le
soleil présent tout le weekend et une piste adaptée à la
discipline. Plusieurs points négatifs sont tout de même à relever,
certes pas très importants, mais lié au
confort lors d’une course sur 3 jours.
En premier lieu, l’espace assez exigu dans les stands. Lorsque
l’on se déplace dans le cadre d’une course nationale,
on aimerait avoir un peu plus de place pour s’installer, ce
qui permet par la même occasion l’acquisition plus rapide
de repère et une sensation d’aisance qui rend plus agréable
un long déplacement routier. En second lieu, la piste: aucun
reproche ne peut être fait sur le tracé en lui-même,
par contre le revêtement doit avoir quelques années
au compteur et commence sérieusement à se dégrader.
Encore une fois rien de dramatique, mais cette sensation
de manque de confort est toutefois loin d’être agréable.
Mis à part ces détails, le club s’en est très
bien sorti, à réussi à ménager les susceptibilités
des uns et des autres, à gérer le timing de fort belle
manière et tenté de préserver au mieux un sentiment
d’équité.
Les pilotes présents: Participation
en hausse par rapport à l’édition
précédente, car c’est avec 88 pilotes inscrits
que s’est déroulée cette course, un résultat
fort honorable compte tenu des circonstances: proximité avec
la fin des vacances, reprises du travail ou de l’école,
etc. Subtilité par rapport à l’année dernière:
la possibilité de pouvoir s’inscrire soit en Elite,
soit en National, ce qui permet à chacun de se retrouver dans
une catégorie dans laquelle il se sentira à l’aise,
et ce sont 21 pilotes que l’on a retrouvé en Elite et
66 en National. L’ambiance était détendue quoi
que studieuse, mais on sentait que chacun "bossait" dans
son coin, ou plutôt, que chacun "bossait" pour
son "team".
La piste:
Comme expliqué précédemment,
le tracé est tout à fait adapté à la
discipline, regroupant à la fois des parties très rapides,
mais d’autres très techniques, réclamant énormément
de précision de la part des autos et des pilotes. Le revêtement
dégradé de la piste a posé bien des soucis à l’ensemble
des pilotes, car il était très compliqué d’allier à la
fois une voiture "motriçant" beaucoup et stable
sur les bosses, sans dégrader le train avant qui avait besoin
d’efficacité. Pour vous faire comprendre, voici un tour
de piste comme si vous y étiez: tout commence par une longue
ligne droite qui est légèrement
en pente et qui se fini par une succession de virages à droite
créant ainsi une sorte de courbe. Pour aller vite à cette
endroit, il fallait faire très attention à bien gérer
la vitesse et à ne pas rester trop longtemps du côté extérieur
de cette courbe, cette partie étant fortement bosselée
et faisait faire des choses que l’on peut qualifier de bizarre
aux autos. S’en suit un virage à droite juste devant
le comptage qui enchaine sur une courbe à gauche très
rapide qui vous propulse à des vitesses très importantes
dans une suite d’épingles à gauche puis à droite
qui débouche à son tour sur une chicane très
pénalisante si mal négociée, car si par malheur
vous étiez mal placé, vous pouviez vous envoler très
loin et atterrir sur le balisage métallique et/ou sur vos
camarades de jeux. Ensuite, l’on remontait sur une courbe à gauche
de 180° composée en fait par 2 virages soudés l’un à l’autre
qui vous faisaient redescendre sur un virage à droite qui
vous emmenait sur l’ultime difficulté de la piste, à savoir
l’entrée de la ligne droite, car déjà,
en soit c’est déjà très dur pour placer
l’auto au bon endroit, mais vous aviez la désagréable
surprise d’y retrouver une sorte de creux déstabilisant
complètement l’auto si vous n’étiez pas
placé correctement. Vous l’aurez donc compris, arriver à être
régulier demandait de grosses qualités de pilotage
mais aussi de réglages châssis, car les différences
entres les autos pouvaient être très importantes. Pour
donner quelques chiffres, la pole position en National était
détenue par C. Guillaud en 16t 5’00’’20
et en Elite par R. Monin en 17t 5’10’’57, soit
une moyenne au tour de 18’’76 en Nationale et 18’’27
en Elite. Pour aller vite, il fallait au minimum être en 16t
en National et 17t en Elite. Pour la petite histoire, si C. Guillaud
avait roulé en Elite avec le chrono qu’il a effectué,
il se serait retrouvé à la onzième place.
Technique:
Pas de vraie nouveauté présente
dans les stands, le championnat d’Europe s’étant
couru il n’y a pas si longtemps et les news elles-mêmes
présentées là bas ne sont pas encore disponibles.
Toutefois, faisons un bref tour des stands:
Motorisation: de
tout était visible, et toutes les grosses
marques étaient représentées dans de bonnes
proportions, avec un petit plus pour RB, qui avec leur gamme
assez complète et leur travail de support dans les stands
font qu’ils
se détachent un petit peu. Sinon, pas mal d’OS TZ,
préparés
ou non, par OS ou d’autres, avec des résultats sur
la piste très honorables. Quelques Mega ZX12 présents,
mais à priori pas dans les mains de pilotes lambdas, le
moteur souffrant d’une mauvaise réputation, ce qui
explique en parti son manque de représentation. Mauvaise
réputation
justifiée semble t’il à cause de son carburateur.
Du côté de chez Sirio, représentation assez
honnête
des modèles Evo 3 et Evo 3 STI avec des performances dans
le ton des autres productions. Pour le reste du plateau, il s’agit
essentiellement de productions sur base Novarossi, allant de
Top au Max, en passant JP Racing
Serpent: beaucoup de châssis Serpent 720 dans les stands.
Il est tout de même assez étrange d’en retrouver
autant en si peu de temps, l’auto n’étant sortie
qu’il y a à peine 2 mois. Au programme, simplification
et accessibilité, mais cela vaut il vraiment un renouvellement
total de son matériel ? Sur la piste, l’auto semble
facile dans les mains des pilotes expérimentés, et
la relative difficulté de mise au point de la 710 à l’air
de s’être envolé, ce qui satisfera de nombreux
fans de la marque.
Kyosho: Pour ce qui est de la représentation,
la Kyosho V one RRR est loin de passer inaperçue. La version
Evo disponible depuis quelque temps est visible sur certaines tables,
mais beaucoup
de "non" Evo roulent encore avec de belles performances à leur
actif.
Mugen: Mugen est la troisième
marque la plus visible et on ne retrouve aucune MTX3, mais seulement
la MTX4. Comme ses consœurs,
elle est plus accessible mécaniquement et quelques détails
ont été affinés.
T2M: Pour finir avec les châssis,
il s’agit
de ne pas oublier la T2M GPX4, qui dans les mains de T. Eytard réalisera
une jolie performance en ce hissant dans le top ten Elite. Il s’agit
d’une performance non négligeable lorsqu’on sait
qu’il est le seul du team T2M à y être
parvenu. Une petite nouveauté concernant cette auto: des triangles
plus rigides sont à l’essai, en matière plastique
nettement plus chargée en graphite.
Un petit mot sur les autres châssis. Il ne nous a été donné de
voir qu’une seul Team Magic G4 et les voitures à cardans
ont quasiment disparu des stands. Donc adieu NTC3 et autre FW5R,
dommage.
Divers: La mode durant cette coupe
de France était au
différentiel à l’avant, réglé assez
dur. Le vrai plus apporté par ce genre de transmission est
un confort indéniable. Comme expliqué plus haut, la
piste était beaucoup bosselée et pour arriver à enrouler
les virages, un petit coup de pouce de la part de l’auto pouvait
rendre service. Toujours au rayon "mode": la Protoform
Stratus 3. Elle devait représenter plus des 3/4 des carrosseries
utilisées lors de ce weekend de course. Elle est notamment
appréciée pour son train avant plus directif et une
très bonne stabilité du train arrière. Concernant
l’électronique, un peu de tout en radio/servos, mais
les valeurs sûres restent Futaba et Sanwa. De plus en plus
de pilotes se tournent vers les modules Spektrum, pour d’évidente
raison pratique, mais peu de pilotes disposaient des dernières
versions. Enfin, les pneus ont joué un rôle prédéterminant
durant ce weekend (et durant les autres aussi d’ailleurs).
Une tendance se dégage: celle des pneus les moins chers possible.
Lors des précédentes courses, le prix importait assez
tant qu’on était convaincu d’une certaine qualité et
"suprématie" de
son matériel. L’expérience aidant, les pilotes
se sont rendu compte que peu de différences existait entre
des pneus chers et bon marché. Ce fût assez
flagrant, les marques réputées chères tendant à gentiment
se retirer au profit des low cost. Les duretés allaient de
37 à 40,
voir 42 en finale et lors des remontées. Les diamètres
eux s’échelonnaient de 60/61 mm à 63/64 mm lorsqu’il
fallait roulait plus de 5 min.
Commission technique: G. Roch,
responsable fédéral
de la discipline, avait réuni ses troupes pour débattre
de l’avenir du touring nitro. Au programme, un point sur la
participation à cette coupe de France qui est en augmentation
par rapport à l’année dernière. Une grosse
partie de cette commission était consacré aux évolutions
qu’aura à subir le championnat de France. Pour 2008,
par la volonté du ministère de la jeunesse et des sports,
seule la catégorie élite aura droit au titre de champion
de France de la discipline, avec comme but déclaré de
récompenser le gratin des pilotes. L’année 2007
sera donc une année de transition, et permettra à chacun
de comprendre le fonctionnement de ce changement. Toutefois, la catégorie
nationale ne sera pas en reste avec probablement l’attribution
non pas d’un titre de champion de France, mais celui de vainqueur
d’un trophée national. Par contre, à terme, la
catégorie sport telle qu’on l’a connaît
devrait laisser place à un nouveau concept, dont le futur
règlement
est encore en gestation. Il a tout de même été évoqué que
le titre national dans cette catégorie serait attribué lors
de la coupe des Ligues. Ensuite, le changement du format de course
a été évoqué, car lors de cette coupe
de France, il a été essayé un système
sans finaliste direct, c'est-à-dire avec 2 demi finales, 2 quarts
de finale etc... G. Roch attend du retour des pilotes pour confirmer
ou non l’utilisation de ce format dans les courses nationales à venir.
Pour finir, il a été question du problème lié aux
conditions climatiques, et au relatif manque d’équité.
Pour le moment, rien n’a été décidé car
G. Roch attend d’avoir là aussi plus de feedback.
Qualifications:
National: c’est le local
C. Guillaud qui s’empare de
la pole dès la première manche de qualification, avec
un remarquable 16t en 5’00’’20. On retrouve ensuite
R. Jaureguy qui se retrouve à plus de deux secondes.
avec 16t 5’02’’98
et L. Dupre en 16t 5’03’’83. Suivent ensuite J.
Defie (16t 5’04’’19), J. Gulling (16t 5’05’’41)
et F. Blanchard (16t 5’07’’02). A la septième
place, M. Kalaris (16t 5’07’’38), champion de France
promotion 2005 et qui nous effectue une excellente coupe de France.
Juste derrière, F. Warembourg (16t 5’08’’91),
tout juste auréolé du titre de champion de France en
catégorie nationale. Pour compléter ce top ten, à la
neuvième place F. Capillon (16t 5’09’’35)
et S. Raquin (16t 5’10’’65).
Elite: c’est le jeune R.
Monin qui décroche le pompon
avec un 17t en 5’10’’57, pole que personne ne pourra
lui contester. A la seconde position, A. Chaussard en 17t 5’13’’23
suivi par S. Wartelle pour seulement pour six centièmes 17t
5’13’’29
!!! S. Olanier est talonné de très près par
J. Mouton, mais c’est Steve qui le devance pour cinq dixièmes.
Suivent dans l’ordre T. Desmaries (17t 5’16’’86),
M. Pontal (17t 5’17’’05), J. Josas (17t 5’17’’41).
Pour clore ces qualifications, E. Loge est neuvième (17t 5’17’’48)
et le jeune et prometteur A. Soulignac ferme la marche (17t 5’18’’24).
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Remontées:
National: grace ou à cause
du système
de non finaliste direct, il a été intéressant
de suivre les diverses remontées. Pour faire vite, les six
premiers se sont retrouvés
en demi finale direct : trois en demi A et les trois autres en
demi B,
ce qu’il laisse la place à 14 pilotes qui seront issus
des quarts et ainsi de
suite (ndlr : nous nous sommes contentés de retracer la
course qu’à partir des quarts de finale, plus facile à suivre
pour tout le monde, notamment pour le rédacteur de l’article). Les
3 pilotes en demi A direct sont : C. Guillaud, L. Dupre
et J. Gulling. En demi B nous retrouvons: R. Jaureguy,
J. Defie et F. Blanchard. Pour compléter
ces demis, il va falloir attendre un peu, car il y a eu de l’action
dans les différents quarts.
Elite: n’étant
qu’une vingtaine de pilotes dans cette catégorie,
tous se sont retrouvés en demi finale.
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Départ 1/4 A -
National:
- M. Kalaris
- F. Capillon
- J-P Michel
- E. Cheron
- N. Erhel
- T. Willaert
- F. André
- S. Guilbaut
- S. Pierson
- C. Combes
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Départ 1/4
B - National:
- F. Warembourg
- S. Raquin
- A. Bruyer
- A.
Gouriau
- E. Briandet
- L. Cesar
- J. Reynaud
- K. Rasquin
- R.
Fege
- T. Esposito |
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Note: les pilotes qui remontent
des quarts et des demis sont indiqués en gras.
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Départ 1/2 A - National:
- C. Guillaud
- L. Dupre
- J. Gulling
- F. Capillon
- J-P. Michel
- M. Kalaris
- S. Pierson
- T. Willaert
- C. Combes
- N. Erhel |
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Départ 1/2
B - National:
- R. Jaureguy
- J. Défié
- F.
Blanchard
- F. Warembourg
- A. Bruyer
- K. Rasquin
- L. Cesar
-
R. Fege
- S. Raquin
- J. Reynaud
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Départ 1/2 A - Elite:
- R. Monin
- S. Wartelle
- J. Mouton
- M. Pontal
- E. Loge
- M. Derderian
- N. Bougnoteau
- T. Eytard
- N. Astie
- F. Soumoulou |
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Départ 1/2
B - Elite:
- A. Chaussard
- S. Olanier
- T. Desmaries
- J. Rosas
- A. Soulignac
- E. Sauterau
- A. Privat
- B. Thévenin
- D. Bonaldi
- P. Kieffer |
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Rang |
Driver |
Car |
1 |
C. Guillaud |
Kyosho RRR |
2 |
R. Jaureguy |
Kyosho RRR |
3 |
J. Reynaud |
Serpent 720 |
4 |
M. Kalaris |
Kyosho RRR |
5 |
F. Capillon |
Serpent 720 |
6 |
S. Pierson |
Mugen MTX4 |
7 |
J. Defie |
Serpent 720 |
8 |
A. Bruyer |
Kyosho RRR |
9 |
F. Warembourg |
Mugen MTX4 |
10 |
L. Cesar |
Mugen MTX4 |
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Rang |
Driver |
Car |
1 |
Jacky Mouton |
Serpent 720 |
2 |
Arnaud Chaussard |
Serpent 720 |
3 |
Mickael Pontal |
Kyosho RRR |
4 |
Steve Olanier |
Mugen MTX4 |
5 |
Renaud Monin |
Mugen MTX4 |
6 |
José Rosas |
Kyosho RRR |
7 |
Thomas Desmaries |
Mugen MTX4 |
8 |
Thomas Eytard |
T2M GPX4 |
9 |
Sébastien Wartelle |
Kyosho RRR |
10 |
Nicolas Bougnoteau |
Mugen MTX4 |
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Les finales:
National : les finales ne seront
qu’une
formalité pour
le vainqueur, C. Guillaud tant il aura maitrisé son sujet
tout au long de la finale. R. Jaureguy, très rapide (voir
le plus rapide) a eu des soucis lors du départ, ce qu’il
lui a fait perdre beaucoup de temps et d’énergie. Dommage,
car il était probablement le seul à pouvoir jouer à la
régulière avec Cédric. Il réussira néanmoins à raccrocher
le wagon de tête malgré tous les handicaps qui lui sont
tombés dessus durant la course, une très belle performance.
A la troisième place, J. Reynaud, qui sera l’auteur
de la plus belle remontée de la course (parti des soixante-quatrièmes
jusqu’en
finale) et qui prouve que si l’on ne se décourage pas,
l’on peut faire d’excellent résultat, à condition
d’avoir son matériel parfaitement préparé.
A la place du c.., M. Kalaris, brillamment remonté de la neuvième
place à la quatrième. Ce fut brillant, oui,
mais à priori
pas assez, dommage. C. Capillon conserve lui sa place de cinquième
et S. Pierson elle sa place de sixième. En septième
position, J. Défié, en huitième A. Bruyer.
Pour conclure, F. Warembourg neuvième et L. Cesar dixième.
Elite: à contrario de ce qui s’est
passé en
national. Après un départ sur les chapeaux de roues,
R. Monin et S. Wartelle s’échappe tous les deux. S.
Wartelle ne mettra pas beaucoup de temps pour dépasser Renaud,
celui-ci ne supportant pas la pression mise sur ses épaules.
Mais à son
tour, Sébastien est victime de problème, car il calle
une première fois, puis plus tard une seconde fois. Par conséquent,
il ne pourra jamais revenir aux avants postes. Il laisse alors le
leadership à A. Chaussard qui perdra le commandement de la
course à moins d’un tour, au profit de J. Mouton, qui était
dans son pare choc depuis un certain temps. Nous avons à ce
moment là nos deux leaders dans l’ordre d’arrivée.
En trois, M. Pontal, qui a fait une course sage, termine à une
place méritée. En quatre, S. Olanier qui réussira à récupérer
des places par rapport à sa position sur la grille de départ.
Ensuite, en cinquième place, on retrouve R. Monin, qui après
avoir laissé sa place de leader à S. Wartelle a continué à dégringoler
gentiment. Nous poursuivons avec les sixièmes et
septièmes
places. On y découvre J. Rosas et T. Desmaries. Pour compléter
cette finale, T. Eytard en huit, S. Wartelle avec ses deux calages
se retrouve neuf et N. Bougnoteau dix.
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Le podium National:
Cédric Guillaud (2), R. Jaureguy (1)
et Julien Reynaud (3). |
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Le podium Elite:
Arnaud Chaussard (2), Jacky Mouton (1) et
Mickael Pontal (3). |
La carte postale:
Beaucoup de choses à dire,
et très franchement, je ne sais pas par où commencer.
Peut être par la mentalité. A notre arrivée,
vendredi en tout début d’après-midi, les stands étaient
déjà full !!! Franchement, cela fait bizarre... Donc
trouver de la place dans les stands devient un jeu difficile lorsque
l’on estime avoir le temps d’arriver tranquille. Ensuite,
le second choc est le bazar le plus absolu lors des essais libres,
il n’était pas rare d’avoir jusqu’à vingt
pilotes sur le podium sans que cela ne gène personne, un
comble. Un mot aussi sur la répartition des qualifs qui
d’après
moi n’était pas des plus cohérente. Oui je
sais, la critique est facile et l’art est difficile, mais
je pense qu’il est jouable des faire rouler autant de pilotes
sans ce que ça se transforme en foire d’empoigne.
Voilà en
quelques mots ce que j’ai ressenti de cette course, alors
certes, c’est un peu "agressif", mais
cela n’enlève
rien à la performance des pilotes. Venant des disciplines électriques,
qui même sans être parfaites, me semblent beaucoup
plus accessibles en terme d’accueil que le nitro. J’espère
tout de même me refaire une opinion plus avantageuse dans
un futur proche. A bientôt sur les pistes.
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